Préparer son fil poissé monté de soies de sanglier
Afin de montrer ce qui ne peut s’expliquer en mots nous avons produit notre premier film
Afin de montrer ce qui ne peut s’expliquer en mots nous avons produit notre premier film
Le plancher y est, les murs et le plafond sont en état, l’éclairage est parfait, maintenant il faut remettre en place notre exposition pour de bon. La mise en place provisoire des étagères s’avère un gain de temps considérable. Un après-midi nous avons pu remonter toute notre exposition et sommes prêt pour demain, jour ouvrable.
Comme dit l’adage, pensons global mais achetons local. Notre choix pour les sols était de s’adresser aux meilleurs du coin, la maison Menetrey, spécialiste des parquets et planchers depuis plus d’un siècle.
Le musée est plein de vide. Nous avons débarassé le plancher dans le vrai sens du terme afin de préparer l’arrivée d’un nouveau plancher en chêne de bourgogne afin de remplacer le sol en lino déjà trentenaire. Cela faisait 30 ans que ce local n’a jamais ete aussi vide 😉 Mais n’ayons crainte, en fin de semaine nous serons de nouveau prêt a vous acceuillir.
Le concept du projet « peau neuve 2014 » comprend aussi un éclairage adapté aux exigences d’un musée.
La mise en place du nouvel aménagement est faite. Les outils ont enfin leur place définitive, bien alignés l’un à coté de l’autre. Le déplacement des étagères nous a permis de gagner de la place et d’y ajouter quelques rayons.
Notre projet « peau neuve 2014 » implique aussi une meilleure présentation des outils et moyens techniques de cordonnerie des diverses époques. (Voir blog du 21.09.2013). Nos avons commencé l’année avec cette partie du projet, séparant les outils et formes en bois par période historique.
Un assèchement des fuites d’eau et sources d’humidité, une ventilation pour maintenir une hygrométrie acceptable et nous voilà enfin prêt pour assainir les murs des locaux de stockage. Manque de fond nécessaire c’est la patronne en personne qui s’attaque à la tâche.
Une première pour nos interventions hors murs. Nous présentons la chaussure du 18e siècle de plus en costume d’époque. Cette année nous avons investi dans des nouveaux costumes. Quelques mètres de tissus IKEA et d’autres tissus d’occasion, du fil de fer, bouts de tuyaux, baguettes et ficelle et deux mois de travaux de coutures furent nécessaire à la confection de ces costumes. Le 18 siècle semble être une époque ou il fallait d’avantage être architecte que tailleur pour faire de pareils vêtements monumentaux. EN voyant ces belles se déplacer avec leurs robes à panier on aurait dit des galions espagnols toutes voiles dehors déambulant dans les salons. Ces robes ont emporté le prix du public et le prix d’authenticité lors du défilé final.
Invité à un anniversaire très particulier nous avons participé aux festivités de la companie de Saint Georges au château de Vallerois-le-Bois. Pour les 25ans de cette compagnie il fut prévu de fêter cela en famille, sans publique en habits modernes et avec leurs appareils de tout genre. Cela donna une véritable ambiance moyenâgeuse. On s’y croyait vraiment propulsé 600 ans dans le passé dans un décor on ne peu plus authentique.
Il faudrait bien entreprendre quelque chose pour commémorer les dix and du musée. Le premier projet de l’association du musée de la chaussure vise a rafraichir le musée. Aprés quelques sessions du comité nous avons finalement un concept de notre nouvelle scénographie. L’assainissement à aussi pour but d’optimiser les conditions climatiques des locaux.